La protection sociale du statut de salarié

Même si vous êtes un consultant indépendant, en portage salarial Grenoble, vous jouissez des avantages du statut de salarié. Ainsi, vous bénéficiez de la sécurité sociale, d’une prévoyance retraite, d’une indemnité de chômage, d’une mutuelle maladie, de congés payés et d’une responsabilité civile professionnelle. Toutefois, vous n’êtes pas tenu de suivre les horaires de bureau comme un salarié classique.

La flexibilité des horaires et du cadre de travail

La flexibilité est l’un des principaux avantages pour un consultant en portage. Cette flexibilité concerne non seulement les horaires, mais aussi le cadre de travail et la gestion des clients. En effet, vous n’êtes pas tenu de suivre les horaires de bureau habituels, car vous avez un statut de consultant de portage. Vous n’êtes pas non plus obligé de travailler dans les locaux du client pour lequel vous proposez vos services. Enfin, vous êtes libre de choisir vos missions ou les clients pour lesquels vous voulez travailler.

Allègement de la gestion administrative

L’allègement des démarches administratives est également un avantage non négligeable pour les consultants en portage. En optant pour ce statut, c’est l’entreprise de portage qui s’occupe de faire tout ce qui est facturation ou déclaration des charges liées à votre activité. Par ailleurs, l’entreprise de portage est tenue de vous payer un salaire. Par contre, vous devez faire un compte-rendu mensuel de vos activités et de vos frais professionnels.

La possibilité de faire plus de formation

Comme vous avez signé un contrat en tant que salarié avec une société de portage salarial, vous bénéficiez de droit à la formation. C’est grâce à vos missions que votre CPF ou Compte Personnel de Formation est alimenté. Par ailleurs, les formations ou ateliers que vous suivez vous permettent d’améliorer vos compétences et de maîtriser parfaitement votre domaine d’activité.

Le savoir-faire

En tant que chef d’entreprise, vous êtes dans l’obligation de sortir votre bilan annuel. Malheureusement, tout le monde n’en est pas capable en procédant seul, ou n’a pas le temps de le faire, surtout s’il s’agit d’une entreprise de plusieurs millions d’euros à gérer. C’est à ce niveau que les connaissances et le savoir-faire d’une agence d’expertise-comptable vous sont bénéfiques. À rappeler que pour pouvoir exercer ce métier, les personnes doivent suivre un long cursus, ce qui diminue le risque de fautes.

La rentabilité

C’est l’une des principales raisons pour lesquelles, les entreprises préfèrent engager un cabinet d’expert-comptable. Il est vrai que, si pour certaines agences, le prix pratiqué est insensé, il suffit de trouver celle qui correspondra à son budget. Dans cette catégorie, les services de REGVAL vous sont proposés. Un Cabinet d’expert comptable en Ile-de-France, réputé dans le domaine, avec un personnel qualifié qui vous accompagnera dans le développement de votre entreprise. C’est donc un partenaire sur le long terme qui vous offrira des prestations personnalisées et abordables.

En outre, une autre dimension de la rentabilité de ce type de cabinet : la gestion du temps. Vous n’aurez aucun retard sur vos constats semestriels, ainsi que les bulletins de paie de vos employés, et tout ça à moindre coût.

La pluridisciplinarité

Les missions que peut accomplir un expert-comptable sont multiples :

– La fiscalité : il vous aidera à remplir vos documents de déclaration d’impôts et sera d’une aide précieuse pour toute question fiscale ;
– Les conseils financiers : ces cabinets ont également une mission de conseil envers leurs clients. Pour chaque décision juridique ou financière que vous prendrez, n’hésitez pas à les consulter ;
– La gestion de la trésorerie : en détenant l’expertise d’un cabinet d’expertise-comptable, vous aurez la chance de pouvoir compter sur des professionnels pour gérer vos dépenses et les investissements possibles, en adéquation avec les capacités de votre trésorerie.

Qu’est-ce qu’un club d’entreprise ?

Un club d’entreprise se définit comme un réseau permettant de regrouper des acteurs d’un même secteur ou opérant dans des domaines différents. Ce club naît de l’initiative d’un animateur investi et les premiers membres sont souvent les amis, les connaissances ou les collaborateurs proches. Le réseau peut ensuite s’étendre en intégrant des contacts plus éloignés. Les réseaux sociaux tels que LinkedIn et Facebook ont contribué à l’essor des clubs d’entreprises.

Cependant, les clubs n’interagissent pas uniquement sur ces plateformes particulières. En effet, elles peuvent disposer de leur propre plateforme de communication virtuelle ou physique. Un club d’entreprise peut par ailleurs agir comme une simple association ou disposer d’un statut juridique légal lorsqu’elle a des objectifs économiques à atteindre. Même lorsqu’il ne fonctionne pas d’une manière entièrement bénévole, un business club reste un bon moyen pour profiter de l’expérience de ses pairs et de l’expertise de professionnels issus d’horizons variés.

Pourquoi intégrer ce type d’organisation ?

Le but premier d’un business club est d’aider une entreprise à étendre son réseau et à développer ses activités. Il permet de connaître la situation actuelle d’un secteur ainsi que les différentes opportunités de partenariat. C’est également un excellent moyen de se faire connaître, car les informations qu’une entreprise diffuse sur elle dans ce type de club seront éventuellement partagées par les membres sur d’autres réseaux. Il existe par ailleurs une grande variété de clubs d’entreprises ayant chacun leurs propres objectifs.

Pour les jeunes entrepreneurs souhaitant bénéficier d’un meilleur encadrement au moment de se lancer dans un business, il y a par exemple des clubs de parrainage. Ces derniers peuvent offrir un appui financier ou aider les start-ups à décrocher des prêts. L’adhésion à ce type de club permet également de profiter d’une formation permettant de gagner en compétence.

Cependant, il ne faut pas forcément s’attendre à une amélioration conséquente ou immédiate de son chiffre d’affaires suite à l’adhésion dans un groupe. Enfin, un business club est un moyen sûr pour un chef d’entreprise d’échapper au fléau de la solitude. Un dirigeant peut en effet ressentir une lourde solitude puisque tout un système repose sur lui alors qu’il ne sait pas forcément vers qui se tourner en cas de soucis.

Quelles sont les conditions pour intégrer un club d’entreprise ?

Généralement, les clubs d’entreprises sont des clubs de dirigeants, d’entrepreneurs et d’indépendants. Il est également possible de réunir les entrepreneurs dans un business club de rugby par exemple. Cependant, il ne suffit pas d’être à la tête d’une affaire pour intégrer l’un de ces clubs. Chaque organisation édicte généralement ses propres critères d’admission. Les clubs qui apportent en priorité leur soutien aux jeunes chefs d’entreprise peuvent par exemple imposer des objectifs financiers à atteindre. Il est également possible que les clubs soient fermés à certaines entreprises locales.

Ainsi, il ne sera par exemple pas envisageable pour une entreprise lyonnaise d’intégrer un club pour entreprises marseillaises. Par ailleurs, si vous avez des difficultés à intégrer un club, ce n’est pas la peine de forcer. Il existe actuellement suffisamment d’organisations parmi lesquelles vous trouverez certainement celle qui répond le plus à vos attentes. Et enfin, sachez que même si les clubs n’attendent pas forcément quelque chose en retour, il est plus sage de montrer votre gratitude de plusieurs manières. Vous pouvez par exemple vous investir plus dans le club en proposant des activités, en participant à des débats, etc.

Comment intégrer un club d’entreprise ?

Si vous êtes convaincu qu’un club d’entreprise n’est pas une perte de temps, il ne vous reste qu’à trouver celui que vous souhaitez intégrer. Pour cela, la méthode la plus simple consiste logiquement à vous informer sur les réseaux sociaux et forums sérieux. Dans le cas des unions locales d’entrepreneurs, vous informez auprès de votre mairie est envisageable.

Il est par ailleurs possible de rencontrer les membres du club qui vous intéressent et d’échanger directement avec eux. Vous pouvez également assister à une réunion ou une activité du club. C’est un bon moyen pour vous informer de ses objectifs, de ses attentes envers ses membres, de son niveau d’organisation, etc.

Créer une microentreprise, les démarches à connaître

Les démarches pour la création d’une entreprise et d’une microentreprise sont différentes. Pour pouvoir implanter une microentreprise sur le territoire français, un autoentrepreneur doit considérer ces quelques étapes. Avant toute chose, il est important de procéder à la déclaration de son activité. Cela demande à l’autoentrepreneur de se rapprocher de l’URSSAF pour l’informer du projet qu’il souhaite lancer. Pour ce faire, l’autoentrepreneur doit fournir un dossier comprenant son identité et l’adresse de son domicile et/ou son adresse professionnelle. Il devra également faire part du type d’activité qu’il veut mettre en place et choisir un régime fiscal (RSI ou CIPAV) et un régime social. Ceci étant, le dossier sera accompagné du formulaire P0 dûment rempli et à remettre à l’URSSAF. Ce sera ce dernier qui se chargera de sa transmission au service des impôts.
La seconde étape consiste au choix de la domiciliation de l’entité. Il s’agit de l’adresse exacte où sera implantée la microentreprise. Cette adresse sera ensuite déclarée au niveau du CFE. À noter dans ce cas, que la domiciliation commerciale peut se faire au domicile même de l’autoentrepreneur si ce dernier est utilisé en même temps comme lieu de travail. Il peut aussi choisir entre passer par les services d’une entreprise de domiciliation, d’un incubateur, d’un centre d’affaires ou d’un local commercial. Il faut alors fournir l’adresse de l’une de ces entités.
Ensuite, il est important que le micro-entrepreneur ait les justificatifs nécessaires pour prouver ses capacités et ses compétences dans la gestion de son projet. Une formation spécifique peut être demandée dans ce cas, ou un stage de préparation à l’installation. L’autoentrepreneur peut ainsi suivre des formations en gestion commerciale, en fiscalité, en statut social, en gestion d’entreprise, etc. Et cela, afin de s’assurer qu’il peut faire développer son entreprise.
Une fois que ces 3 étapes sont réalisées, il sera également nécessaire d’opter pour la bonne assurance professionnelle afin de couvrir les activités et les actes effectués par l’entrepreneur et sa microentreprise. Avant même le lancement des activités de la microentreprise dans ce cas, l’autoentrepreneur doit penser à souscrire une assurance professionnelle qui couvre ses responsabilités civiles. Cela permet de couvrir les éventuels dommages que peuvent subir des tiers. Cette assurance va aussi assurer la protection des biens et des actifs de la microentreprise en cas de sinistre. Il faut toutefois, considérer les garanties liées à l’assurance professionnelle en fonction des activités réalisées par la microentreprise avant de signer le contrat d’assurance.
Pour terminer, il faut prendre en considération les obligations comptables liées à l’entreprise. De ce fait, il est nécessaire d’ouvrir dans un premier temps, un compte en banque lié à l’activité de la microentreprise qui doit être différent du compte personnel de l’autoentrepreneur. Il est également essentiel de tenir une comptabilité allégée qui permet de justifier les mouvements comptables et le bilan comptable de la microentreprise. Une fois que c’est fait et que la microentreprise a son numéro d’immatriculation, elle peut procéder à la déclaration de lancement d’activité et ainsi, commencer ses activités et diffuser des factures en fonction. Elle peut aussi retirer l’extrait K de sa microentreprise au niveau du greffe du tribunal du commerce.

Créer une entreprise commerciale, ce qu’il faut savoir

Les étapes de création d’une entreprise (SARL, SA, SAS ou autres) sont beaucoup plus longues. En effet, dans un premier temps, il faudra réaliser une étude de marché. Cela permet de bien se positionner sur un marché précis et de connaître avec pertinence les besoins de ses cibles. Une fois que c’est fait, un entrepreneur doit établir son business plan. C’est un document important qu’il faudra rédiger avec pertinence.
En effet, il sera plus facile de trouver des partenaires financiers et des investisseurs si ce business plan est bien peaufiné. Dans ce document, on pourra prévoir le type et le profil de ses cibles, mais aussi le volume des clients potentiels. Ce qui va permettre de définir et de se projeter sur les chiffres d’affaires que l’entreprise pourra faire sur les 3 ou 5 années à venir. C’est aussi dans ce business plan que l’entrepreneur va déterminer les divers moyens dont il aura besoin pour lancer son projet et le faire développer à court et moyen terme.
Ceci étant, il est important que l’entrepreneur choisisse et accède à un local commercial où il pourra réaliser ses activités. Il est possible que ce soit un local vierge ou un fonds de commerce déjà existant qu’il va reprendre.
Ce sera seulement après qu’il fera le dépôt du nom de sa société. Cela doit se faire à l’institut national de la propriété industrielle. Durant cette démarche, il faut bien vérifier que le nom de la société choisie ne soit pas encore utilisé. Le nom doit être unique pour pouvoir être enregistré à l’INPI et utilisé pour ses futures activités.
Viendra ensuite, l’étape de l’immatriculation de la société. Cette démarche est à faire au niveau du répertoire national des entreprises, mais aussi au niveau du registre du commerce et des sociétés. On doit également faire la procédure au sein du CFE. Dans la démarche d’immatriculation, plusieurs documents seront demandés comme le nom, le siège social, le capital social, l’identité des associés, le mode de gestion, le statut juridique, le PV de l’assemblée générale de l’entreprise, etc.
Dès lors que l’immatriculation est obtenue, la création de l’entreprise est effective après l’avoir fait part à travers une annonce légale, publiée dans un journal dédié (Journal d’Annonce légale). L’attestation de la publication de cette annonce peut être exigée par le greffe du tribunal du commerce du département où l’entreprise est installée.

Qu’est-ce qu’un extrait Kbis à quoi sert-il ?

Dès lors que l’entreprise ou la microentreprise est en possession de son numéro d’immatriculation au RCS, elle peut exercer ses activités légalement et diffuser des factures. Toutefois, il est obligatoire de demander un extrait K ou Kbis au greffier du tribunal. C’est un document qui atteste la légalité de l’implantation de la société ou de la microentreprise sur le territoire français, mais il justifie également la légalité des activités de cette dernière. On parle alors d’extrait K pour une microentreprise et extrait Kbis pour une entreprise commerciale avec un statut de SARL, EURL, SA ou autres.
Il est important de posséder ce document pour faire connaître son identité à différents interlocuteurs. En effet, dans un extrait K ou Kbis, on peut connaître le numéro d’identification et d’immatriculation de l’entreprise. On a aussi son nom commercial, l’adresse de son siège social, le nom du ou des associés, le type d’activité exercé, le numéro SIREN, etc. Ces informations peuvent être demandées et exigées par la banque, les futurs partenaires et investisseurs, les fournisseurs, et même les clients. Et cela, avant l’établissement d’un éventuel contrat.
Un extrait K ou Kbis est également demandé lorsque l’entreprise répond à un appel d’offres public ou un appel à manifestation d’intérêt. À noter que ce type de document n’est pas confidentiel. Tout le monde peut demander à l’obtenir que ce soit les dirigeants de l’entreprise, ses employés ou même un tiers qui veut connaître les détails sur la société. Toutefois, c’est un document qui n’est valide que sur une durée de 3 mois. Sa demande est donc, à renouveler tous les 3 mois, autrement, il peut être refusé.

Obtention de l’extrait Kbis (payant ou gratuit)

Pour obtenir un extrait K-bis, on peut se rendre directement au greffe du tribunal du commerce et faire la demande auprès du greffier. Dans ce cas, si c’est le dirigeant de l’entreprise qui fait la demande, un exemplaire de l’extrait sera tarifé à 2.82 euros. L’obtention de l’extrait Kbis est gratuite si le dirigeant le fait en ligne sur des sites comme infogreffe.fr ou monidenum.fr.
Pour un autoentrepreneur, la demande de l’extrait K est toujours payante et facturée à 2.82 euros s’il est retiré auprès du greffier du tribunal. Et tout comme la demande de l’extrait Kbis par un tiers, si la procédure se fait en ligne, elle sera facturée 3.53 euros. Si elle se fait par courrier, un exemplaire d’extrait K ou Kbis sera tarifé à 4.08 euros. Cliquez ici pour en savoir plus sur les tarifs appliqués en matière de demande d’un extrait K ou Kbis d’une société.
Il faut aussi noter que pour les entreprises et microentreprises qui sont installées en Guyane, mais aussi en Alsace et en Moselle, la procédure de demande d’extrait K et Kbis en ligne n’est pas encore possible. Il faudra faire la démarche soit par courrier, soit en se présentant directement au greffe du tribunal du commerce où est enregistrée la société ou la microentreprise.
Par ailleurs, pour avoir régulièrement l’extrait Kbis de sa société, un dirigeant doit se rendre sur le site d’infogreffe ou de monidenum et créer un compte professionnel. Il doit aussi activer la fonction d’envoi régulier (tous les 3 mois) afin de disposer de l’extrait K-bis à jour.

L’apport personnel

L’apport personnel est indispensable pour financer une entreprise. La majorité des créanciers ne vous donneront pas leur aide si vous ne pouvez pas apporter votre participation personnelle. Vous devriez alors vous engager personnellement pour les études de marché. Cela est aussi valable pour la trésorerie de départ tout comme les frais de formalités. En tout, vous apporterez de l’assurance à vos possibles financeurs pour ne citer que les banques. Ces derniers peuvent par exemple exiger un apport minimum de 20 % de votre part.

Les concours ainsi que certains aides

Au cas où vous l’ignoriez encore, certains concours peuvent être proposés uniquement pour les futurs créateurs d’entreprises. Vous pourriez par exemple prétendre au « prix de l’entrepreneur social de l’année ». D’un autre côté, l’État ou certaines collectivités locales peuvent proposer des aides pour la création d’entreprise. Il est aussi possible de demander un prêt d’honneur pour booster votre apport personnel. À cela s’ajoute, le programme « ADIE » qui peut parfaitement remplacer les crédits à la banque.

La prise de participation au capital

Il faut noter que cette option n’est pas réservée uniquement à la création de grosses entreprises. Vous pourriez rencontrer des organismes qui regroupent des investisseurs prêts à s’engager pour la création de PME (Petites et moyennes entreprises). Ses investisseurs peuvent parfaitement injecter de la liquidité dans le capital de votre projet d’entreprise. Notez que ces organismes peuvent aussi réaliser des levées de fonds pour vous épauler.

Les prêts bancaires

Les prêts bancaires restent les options les plus utilisées pour financer la création d’une entreprise. Il suffit de bien préparer votre plan pour qu’il puisse convaincre la banque que vous avez choisie. Cette dernière peut vous proposer un financement avec un taux de 70 %. Vous devriez alors vous montrer convaincant concernant le paiement des 30 % pour servir de budget de départ. N’oubliez pas que vous pouvez injecter plus de 30 % selon vos possibilités. Cela convaincra plus la banque vu que cela montrera vos envies de lancer votre projet.

La motivation

Il a été constaté que sur le papier tout au moins, les jeunes ont envie d’ascension, fulgurante si possible, la plus rapide en tout cas. On voit de nombreux jeunes qui placent des critères tels que la prise de responsabilité comme première motivation. Il y en a d’autres qui ont pour mobile principal le désir d’ajouter une dimension stratégique à leur poste. Le salaire, et donc l’argent, n’arrive qu’en troisième, voire en quatrième position, de leur motivation. Ce qui prime pour la jeune génération, c’est le poste, les perspectives de reconnaissance et la dynamique de l’entreprise. Ce sont ceux qui visent les métiers dans le commerce qui accordent davantage d’importance à la question d’argent.

Les ambitions s’essoufflent

Cependant, une fois que les jeunes sont vraiment dans le monde du travail et vivent le rythme exigé par leur métier, leurs ambitions s’essoufflent peu à peu. Au fil des ans et des matins sans petit-déjeuner, leur bel enthousiasme du début tend à baisser sérieusement. Le fait est que, plus ils prennent de l’âge et mieux au fait des responsabilités qui incombent aux managers, plus ce poste les attire de moins en moins. Ils deviennent plus réalistes et l’illusion du pouvoir s’estompe lentement mais sûrement. Ils comprennent enfin qu’il est possible de s’épanouir dans le travail sans passer par la case management.

Faire la part des choses

Parlons en premier de ce qu’est le secteur d’activité qui, en fait, regroupe toutes les entreprises dont l’activité principale est la même. Pour illustrer cela, prenons toutes les entreprises de construction, conception et aménagements des bâtiments font partie du secteur de la Construction et Travaux Publics. Autre exemple, les industries aéronautique aérospatiale qui conçoivent les avions, les véhicules spatiaux, les satellites, les stations orbitales font tous partie du secteur de l’Aéronautique. Et dans le secteur Financier, on trouve les institutions bancaires et de finances.

Quelques secteurs d’activités

On peut prendre quelques autres exemples de secteurs d’activités. Dans celui de l’Education et Formation, il y a tous les métiers dont le but est de transmettre le savoir et des connaissances, quelle que soit la nature de ceux-ci. Et c’est un secteur important dans le sens où on en a tous besoin tout au long de notre vie (école, lycée, université, formation professionnalisante, remise à niveau, etc.). Quant au secteur des Ressources naturelles et Energie, il regroupe 2 domaines que sont la production et la distribution d’énergie d’un côté et l’extraction et la transformation des ressources brutes de l’autre. C’est un secteur qui a toute sa place à l’heure actuelle, car l’énergie est aujourd’hui un enjeu vital. Il s’agit également d’un secteur en constante évolution et qui ne cesse de recruter. Mais c’est le secteur de l’IT et Télécommunications qui recrutent le plus de nos jours. Il englobe tous les métiers de la technologie de pointe, l’informatique, le numérique, etc. Les développeurs, opérateurs, techniciens et autres webmasters sont très recherchés.

Et les départements ?

Ce sont les entreprises de grande envergure qui sont le plus souvent subdivisées en départements, ce qui veut dire que chaque département s’occupe d’une branche d’activité au sein d’une entreprise. Par exemple, dans un département d’Achat, les salariés sont en charge de l’achat des matières premières utiles pour la production. Y compris dans les tâches la recherche des fournisseurs et des meilleurs prix, etc. Dans le département Management et Direction, voici les quelques fonctions de base : gestion des relations, formation des collaborateurs, organisation des équipes, production des données exploitables, etc. Au sein d’un département Recherche et Développement ou R&D, les missions consistent en des recherches en relation directe avec les activités de l’entreprise. Et dans le département des Ressources humaines, le personnel a pour tâches le recrutement, l’organisation du personnel, la formation des salariés, le suivi de chaque membre du personnel.

Viser la qualité

Un objectif stratégique, la qualité ne devrait pas être négligée pour développer une entreprise. Elle consiste à conférer l’aptitude nécessaire pour satisfaire les besoins exprimés ou implicite des clients. La qualité concerne généralement les produits et les services proposés, mais surtout la qualité financière, la qualité technique, la qualité des personnels, la qualité au moment de l’achat, la qualité après-vente, la qualité de gestion, la qualité commerciale et même de la communication et de la production. Chaque entité composante de l’entreprise doit présenter une bonne qualité pour séduire plus de clientèle. L’amélioration de la qualité est donc un objectif permanent pour une entreprise et en aucun cas, elle ne doit souffrir de compromis. La qualité est aussi le garant d’une bonne image de marque.

Assurer la satisfaction clients

Indispensables à la survie de l’entreprise, les clients doivent toujours être traités de la meilleure manière. Les racines de toute performance se forgent donc sur la satisfaction des clients. Ceci ne peut cependant se faire que par une bonne stratégie commerciale. Outre l’amélioration de la qualité, l’entreprise doit aussi mettre en place un baromètre client pour évaluer la satisfaction des clients. Elle doit bien analyser les réclamations, les dysfonctionnements et trouver rapidement des solutions pour y remédier.

Créer sa propre identité

Pour avoir une bonne image de marque et pour se distinguer de la concurrence, l’entreprise doit créer sa propre identité. Pour ce faire, l’entreprise doit d’abord cultiver une culture, et ensuite s’appuyer sur 5 éléments fondamentaux dont principalement le nom, la signature, le symbole du logo, les messages véhiculés et surtout l’identité visuelle. Ces 5 outils combinés forment l’image et sont considérés comme les bases des supports de communication.

Les éventuelles réactions des salariés face au changement

Les réactions des équipes vont essentiellement dépendre de la nature du changement que votre entreprise en Bretagne souhaite mettre en place. En général, rares sont les changements qui sont accueillis par les salariés comme de bonnes nouvelles. La plupart des transformations provoquent même de vrais bouleversements. Parmi les changements courants mis en place, citons entre autres, le changement des méthodes de travail, la délocalisation, la fusion d’une entreprise avec une autre, etc. Mais, celui qui fait surtout l’effet d’une bombe chez les salariés est l’arrivée d’un nouveau chef. Les salariés ont peur que celui-ci révolutionne tout sans prendre le temps de connaître leur environnement.
Pour réussir la mise en place du changement, il est alors important pour l’entreprise de rassurer les salariés en leur expliquant l’objectif du changement. Le dialogue et la communication sont pour cela indispensables. Sans une stratégie efficace, le changement peut conduire à la démotivation des salariés, voire à leur démission. Cela peut également avoir des impacts négatifs sur l’image de l’entreprise.

Mettre en place une politique de changement réussi

Il est de la mission du département RH de s’assurer que les salariés adhèrent au changement. Comme il s’agit d’un exercice particulièrement difficile, bon nombre d’entreprises font appel à un cabinet de coaching RH comme blv-consulting. Le consultant RH en Bretagne s’assure que le changement que l’entreprise souhaite mettre en place correspond à un véritable besoin menant au succès de l’entreprise. Il élaborera ensuite une stratégie qui sera construite sous la forme d’un plan d’action. Il évalue les risques et les éventuelles objections pouvant être rencontrées. Souvent, les réactions négatives des salariés au premier abord ne résultent pas d’une mauvaise volonté, mais plutôt de la peur de l’inconnu. Grâce au coaching RH en Bretagne, les services RH de l’entreprise obtiendront des conseils pour convaincre et impliquer les salariés au changement.

Le partenariat : une stratégie à déployer avec attention

Le partenariat doit profiter à votre activité. L’idéal serait que les retombées directes soient financières. A défaut, il pourrait avoir un impact positif sur votre notoriété, votre image, votre réputation. Cette conséquence sera, à terme, à l’origine d’une augmentation de votre chiffre d’affaires. Vous l’aurez compris, la mise en oeuvre d’une politique de partenariat nécessite de recourir à des connaisseurs comme le cabinet de conseil ACEGER. Oui, une stratégie de partenariat ne s’improvise pas ! Il est impératif d’étudier chaque aspect de « l’entente ».

Le partenariat : une multitude de formules et d’acteurs

En plus de définir les bénéfices pour chaque partie, sceller un partenariat relève de l’art de convaincre. Un bureau en Conseil pour entreprise en Normandie et Île de France pourrait vous accompagner aussi bien en amont qu’en aval d’une démarche de conclusion de partenariat. Notamment, il vous aide à créer le type de formule la plus adaptée à votre politique de développement, une formule qui, dans le même temps, épouse les besoins de l’autre partie. Les formes et modalités de partenariat sont particulièrement nombreuses. En fait, il n’y a pas de typologie de partenariat. Les termes et le fonctionnement dépendent des intérêts de tous les intervenants. Il est également à noter que les acteurs sont très diversifiés : entreprises, organismes étatiques, associations, organisations… etc.

Le partenariat : des avantages pour la notoriété et le chiffre d’affaires

Dans tous les cas, le but recherché est la croissance du chiffre d’affaires. L’impact du partenariat sur le résultat comptable et financier de l’entreprise peut être indirect. Notamment, le partenariat peut permettre d’améliorer la réputation de l’entreprise, et partant de là, ses ventes se retrouvent propulsées vers le haut.