La protection sociale du statut de salarié

Même si vous êtes un consultant indépendant, en portage salarial Grenoble, vous jouissez des avantages du statut de salarié. Ainsi, vous bénéficiez de la sécurité sociale, d’une prévoyance retraite, d’une indemnité de chômage, d’une mutuelle maladie, de congés payés et d’une responsabilité civile professionnelle. Toutefois, vous n’êtes pas tenu de suivre les horaires de bureau comme un salarié classique.

La flexibilité des horaires et du cadre de travail

La flexibilité est l’un des principaux avantages pour un consultant en portage. Cette flexibilité concerne non seulement les horaires, mais aussi le cadre de travail et la gestion des clients. En effet, vous n’êtes pas tenu de suivre les horaires de bureau habituels, car vous avez un statut de consultant de portage. Vous n’êtes pas non plus obligé de travailler dans les locaux du client pour lequel vous proposez vos services. Enfin, vous êtes libre de choisir vos missions ou les clients pour lesquels vous voulez travailler.

Allègement de la gestion administrative

L’allègement des démarches administratives est également un avantage non négligeable pour les consultants en portage. En optant pour ce statut, c’est l’entreprise de portage qui s’occupe de faire tout ce qui est facturation ou déclaration des charges liées à votre activité. Par ailleurs, l’entreprise de portage est tenue de vous payer un salaire. Par contre, vous devez faire un compte-rendu mensuel de vos activités et de vos frais professionnels.

La possibilité de faire plus de formation

Comme vous avez signé un contrat en tant que salarié avec une société de portage salarial, vous bénéficiez de droit à la formation. C’est grâce à vos missions que votre CPF ou Compte Personnel de Formation est alimenté. Par ailleurs, les formations ou ateliers que vous suivez vous permettent d’améliorer vos compétences et de maîtriser parfaitement votre domaine d’activité.

Les discriminations

La discrimination est l’un des harcèlements au bureau le plus fréquent de nos jours. Elle constitue une conduite qui empêche d’avancer. C’est alors un obstacle qui bloque votre parcours professionnel. Proprement dite, la discrimination est le fait de mettre quelqu’un à l’écart. Par exemple, si tous vos collègues de travail reçoivent des opportunités que vous n’avez pas : c’est une discrimination. Cette forme de harcèlement peut aussi se présenter sous plusieurs formes. Par exemple, il y a la discrimination de genre. Plus souvent, ce sont les femmes qui en souffrent. Dans un lieu de travail, les hommes obtiennent alors plus d’avantages que les femmes. Il y a également le cas des handicapés. Quand quelqu’un vous met à l’écart à cause de votre handicap, c’est de la discrimination, qui est donc considérée comme étant une forme de harcèlement de bureau.

Le harcèlement moral et sexuel

Le harcèlement moral, c’est une conduite d’autrui qui vous conduit à culpabiliser. Il existe en deux types: le mobbing et le harassement. Le premier s’agit d’un comportement de plusieurs personnes qui ont pour but de nuire à une seule personne. Autrement dit, ce sont des gestes vexatoires venant d’un groupe pour déranger un individu. Par exemple, si tous vos collègues vous critiquent sur votre travail, il s’agit d’un harcèlement moral. Le harassement, quant à lui, est un harcèlement psychologique. Celui-ci est un comportement hostile d’une seule personne sur une autre. Le harceleur peut être un collègue de travail, le gérant de l’entreprise ou même un client. Il y a donc harassement quand une seule personne se comporte mal et exprime de la haine envers vous.
Concernant le harcèlement sexuel, il peut se présenter sous différentes formes. Cela ne veut pas dire qu’une personne victime de harcèlement sexuel a été obligatoirement agressée sexuellement. Le harcèlement peut se présenter avec des gestes physiques vexatoires répétés. Il peut également s’agir d’une allusion sexuelle répétitive.

Garantir la sécurité grâce au portage salarial

Vous pourrez bénéficier d’une sécurité optimale en choisissant de faire appel à une entreprise de portage salarial. Elle s’assure en effet de donner au salarié porté un contrat de travail, de lui préciser les modalités pour déterminer sa rémunération et le paiement de son salaire. C’est aussi cette société qui prend à sa charge les démarches administratives, juridiques, comptables et sociales liées au contrat. Le professionnel avec qui vous souhaitez travaillez est engagé par la société de portage salarial ; le consultant travaille pour vous pour effectuer les missions que vous lui confiez. Son rôle est d’effectuer les tâches que vous ne pouvez pas accomplir, ou pour lesquelles votre entreprise n’a pas le temps de s’occuper. En quelque sorte, il résout les problématiques qui risquent de freiner vos activités.

Des avantages indéniables

En travaillant avec une société spécialisée dans le portage salarial, vous aurez l’opportunité de collaborer avec un consultant indépendant, expert dans son domaine. La démarche commerciale revient au salarié porté ; il se chargera de s’entretenir avec vous pour confirmer qu’il correspond à la mission que vous avez à pourvoir. Les modalités d’intervention (tarif, contenu de la mission, lieu d’intervention) seront abordés et négociés entre vous et le salarié porté. Vous n’avez ainsi pas besoin de dépenser du temps pour recruter un professionnel. Le portage salarial peut être l’occasion de valider le profil et les compétences d’un salarié porté avant de l’intégrer à l’équipe interne. Dans tous les cas, en faisant appel à une société spécialisée dans le portage salarial, vous vous soulagerez d’un certain nombre de tâches : gestion contractuelle, risque social, souplesse et simplicité des démarches administratives, déclarations sociales effectuées par l’entreprise de portage salarial, sont quelques-uns des avantages à prendre en compte afin de faire appel à une telle société. Adhérent au syndicat des professionnels du portage salarial (PEPS), votre société de portage salarial sera garante du respect de la convention collective et des bonnes pratiques du secteur.

Bien gérer les essentiels

Avant de se lancer dans la recherche d’un emploi, vous devez d’abord bien vous poser et trouver un endroit tranquille pour faire les recherches et préparer vos dossiers de candidature. Le mieux serait de vous installer confortablement dans votre chambre, ou d’aménager un coin où vous ne risquez pas d’être dérangé, et d’y bancher votre ordinateur et le strict nécessaire à avoir. Sachez qu’après l’envoi d’une candidature, il est possible qu’un recruteur vous appelle par Skype ou par téléphone, donc, il faut être toujours prêt. Ensuite, il vous faudra également, bien gérer votre temps. C’est essentiel, car dans la conception de votre CV, de votre lettre de motivation, du rassemblement de tous les dossiers qu’un recruteur peut demander, cela demande du temps et de la préparation. Il est conseillé, pour ne pas s’éparpiller et si vous n’avez pas d’aide, d’avoir un agenda propre à cette recherche d’emploi. La démarche est très importante, car chaque offre aura un deadline à respecter. De plus, vous devez aussi savoir gérer votre temps avec vos autres activités. D’où la nécessité d’établir un agenda. Par ailleurs, vous devez aussi mettre à jour votre curriculum vitae. L’erreur de certaine personne quand elle pense devoir postuler à une offre d’emploi, c’est de penser que le CV d’avant sera toujours parfait pour les offres prochaines. Si vous insérer des activités que le recruteur n’aura même pas besoin, on saura tout de suite que vous n’avez pas été très appliqué dans la conception de votre candidature. Pensez à n’intégrer dans le CV que les choses qui répondent concrètement au profil demandé par le recruteur. Pour la mise à jour, regardez votre expérience professionnelle, ou les formations que vous avez suivies. Ces rubriques doivent être réactualisées si besoin. Pour la partie loisirs, il est préférable d’y rajouter des activités qui pourraient montrer vos qualités, que vous soyez créatifs, dynamiques, etc. Cela pourrait répondre aux besoins de certains postes.

Les autres points à prévoir

Dans l’organisation, vous devez aussi faire le tour de toutes les annonces qui pourraient vous intéresser sur le net. Il existe des myriades de sites d’emploi sur internet que vous pouvez consulter. Généralement, ces derniers ont des barres de recherche où vous allez insérer un mot clé précis qui vous permettront de voir la liste des offres sur un domaine donné. Vous pouvez aussi vous inscrire sur les sites afin de recevoir des alertes si des offres correspondent à ce que vous recherchez. Toutefois, il ne faut pas attendre ces alertes. Dans votre agenda, mettez comme activités à faire au quotidien, la consultation des mails et des sites d’emploi. Cela doit se faire le matin avant que vous ne sortiez de la maison ou avant de se coucher, afin de ne pas rater des opportunités. Il en est de même pour la consultation de votre boite mails. C’est essentiel si vous avez répondu à une offre précise. Cela fait aussi partie des suivis que vous allez faire sur votre candidature. Par ailleurs, dans ce suivi, il est parfaitement possible de relancer la candidature en demandant des nouvelles après une semaine ou 2 du deadline imposé par le recruteur. Si vous avez envoyé beaucoup de candidatures, il est conseillé de faire un tableau Excel pour le suivi en y mentionnant l’offre et l’intitulé du profil recherché, le deadline, ainsi que la date d’envoi de la candidature. Cela vous permettra de voir à quel moment faire les relances si vous n’avez pas eu de réponse. Et enfin, pensez aussi à vous mettre en valeur dans les réseaux sociaux professionnels où l’on peut voir votre cursus professionnel et vos expériences. Il est recommandé dans ce cas, de créer un profil Linkedin et de mettre à jour fréquemment vos informations. Cette plateforme dispose aussi d’une rubrique de diffusion d’offres d’emploi que vous pouvez consulter de temps en temps.

Quels sont les diplômes requis ?

Vous devez suivre une formation au métier d’agent de sûreté aéroportuaire afin de maitriser les techniques fondamentales pour exercer le métier. Vous devez avoir un certificat en sûreté de l’aviation civile et un CQP ASA des entreprises aéroportuaires. Après l’acquisition de ces diplômes, vous pouvez obtenir votre carte professionnelle délivrée par le Cnaps et votre badge aéroportuaire délivré par le procureur de la République et le préfet.

Quelles sont les qualités requises ?

Un agent de sûreté aéroportuaire doit avoir une bonne présentation puisqu’il travaille en contact permanent avec des gens. Il doit être ponctuel et rigoureux pour mener à bien ses missions. L’agent doit avoir une grande disponibilité pour travailler à des heures décalées ou pendant les jours fériés, tant qu’il y a des vols. Il doit avoir une bonne maîtrise de soi puisqu’il est amené à gérer des situations et des gens difficiles de temps à autre. Enfin, pour communiquer facilement avec les usagers des zones aéroportuaires, il doit maîtriser parfaitement le français, mais également et surtout l’anglais. Pour améliorer sa maitrise de la langue anglaise, il ne doit pas ainsi hésiter à suivre des cours.

Quels sont les intérêts du métier ?

Les missions d’un agent aéroportuaire sont très variées et vous évitent ainsi de tomber dans la monotonie dans votre travail, tout au long de l’année. En travaillant dans une zone à fort échange, vous avez l’occasion d’entrer en contact avec des gens venant de tous pays et de tous horizons. C’est une réelle aubaine pour élargir votre cercle social et professionnel. Par la même occasion, vous vous ouvrez à différentes cultures du monde.

Créez un CV personnalisé

La première chose à faire quand un poste vous plait est d’envoyer un dossier de candidature comprenant un CV. Oubliez le CV classique que vous envoyez à chaque coup. Rédigez un CV personnalisé pour le poste convoité. Pour vous aider, jetez un coup d’œil sur les modèles de cv en ligne. La forme et le design peuvent vous inspirer. Pour optimiser le modèle qui vous a plu, choisissez une photo qui correspond au poste voulu. Oui, il faut des photos différentes pour un poste de commercial ou un poste de directeur technique. Le premier favorise la communication. Votre photo doit refléter votre ouverture d’esprit et votre sympathie pour mieux approcher et convaincre les clients. Le second fait appel à la rigueur. Votre photo doit témoigner votre sérieux et votre sévérité pour ne donner aucune place à l’erreur dans vos responsabilités. Il faut faire de même avec les informations que vous partagez dans votre CV. Créez plusieurs catégories pour mieux vous présenter. La première partie doit consister à vous présenter. Ensuite, il faut mettre en avant votre parcours et vos expériences en mettant en exergue les parties qui font référence au poste convoité. Vous pouvez utiliser une police différente, une taille différente ou une couleur différente pour les mettre en valeur. Bien que vous ayez un flot d’informations à partager sur vous et votre parcours, essayez de faire une synthèse et sélectionnez les données les plus importantes et les plus pertinentes. Ne dépassez jamais les 2 pages lorsque vous rédigez un CV.

Comment vous présenter à l’entretien ?

Si votre CV est sélectionné, vous serez convoqué à un entretien. Le plus facile est de choisir une tenue adéquate, sobre, mais avec une touche de gaieté. Mais, le plus important est de faire attention aux détails qui peuvent vous trahir. Faites attention à votre regard, à votre façon de parler et à votre manière de vous comporter, et ce dès votre entrée au portail de l’entreprise. On vous évalue déjà sur la manière de vous présenter à l’accueil. Face au recruteur, restez avenant sans être trop familier. Parlez avec aisance sans faire de commentaires en dehors du sujet d’entretien. Donc, ne parlez pas du parking de l’entreprise ou du mobilier de bureau du recruteur. Quand vient le moment où le recruteur vous demande de parler de vous, synthétisez et positivez. Il sait déjà tout sur vous grâce à votre CV. Il va surtout évaluer votre capacité à synthétiser et à argumenter vos propos ainsi qu’à prouver le lien entre votre long parcours et le poste visé. Ne faites pas une narration de votre parcours, dites les compétences et le savoir-faire que vous avez pu en tirer et que vous allez mettre au profit de l’entreprise. Toutefois, restez humble et énumérez les points que vous devez encore améliorer et la façon dont vous allez vous y prendre en occupant ce poste.

Description du métier

Un conducteur d’autocar grand tourisme est chargé de transporter sur le réseau routier des voyageurs. Il peut s’agir de service urbain, régional, national ou encore international. Il peut effectuer diverses opérations comme les sorties à la journée d’une association, les trajets scolaires, les circuits touristiques, les transports du personnel d’une entreprise, les prestations hôtelières, etc.

Les tâches d’un conducteur d’autocar grand tourisme

Si sa principale tâche est de conduire les voyageurs ou passagers vers leur destination, le conducteur d’autocar grand tourisme a plusieurs missions à accomplir. Parmi celles-ci :
– la préparation du véhicule (nettoyage, vérification de son état de fonctionnement, diagnostic des pannes, etc),
– l’information des passagers sur le parcours (répondre à leurs questions concernant les circuits),
– la gestion des éventuels incidents,
– la mise en place des mesures d’urgence en cas d’incident (gestes de premier secours en attendant l’arrivée des secours).

Les conditions d’accès au métier

Généralement, on peut devenir conducteur d’autocar grand tourisme sans diplôme ni expérience professionnelle. Mais, avec un CAP agent d’accueil et de conduite routière, vous aurez plus de chance d’y accéder. En revanche, le permis D est exigé. Il faut également suivre une Formation Initiale Minimum Obligatoire, option voyageur, que vous devez par ailleurs renouveler périodiquement. Pour exercer le métier, un casier judiciaire ne comportant aucune mention contradictoire aussi est obligatoire. La maîtrise d’une langue étrangère serait un plus.

Où travailler ?

Notons que l’activité de ce métier ne peut pas s’exercer en autoentreprise. Le conducteur doit avoir un statut de salarié et travailler au sein d’une entreprise de transport. Il peut aussi rejoindre une agence d’intérim pour conducteur d’autocar. Une agence d’Intérim pour conducteur d’autocar est une entreprise de travail temporaire. Elle bénéficie d’un contrat de mission dans une entreprise cliente. Que le conducteur travaille directement dans une société transport ou exerce dans une agence d’intérim pour conducteur d’autocar, il pourrait être amené à travailler en fin de semaine, la nuit, et durant les jours fériés.

Tout marche à la renommée

Les indépendants sont soumis à une obligation de qualité, plus que les autres prestataires disponibles sur le marché. Et pour cause, leur réussite, leur stabilité financière et leur pérennité sur le marché dépendent de leur renommée.
Toujours à la recherche de recommandation en plus, les artisans sont donc à l’écoute et minutieux, toujours disponibles, ayant un sens de l’expertise développé. Ce sont les gages de la satisfaction de la clientèle.

La loi est très exigeante

La loi n’arrange pas la situation. Pour les artisans, elle est très exigeante. Par exemple, ils doivent avoir un compte bancaire professionnel et doivent souscrire à une assurance pro. À cela s’ajoute une obligation de transparence de prix. Dans le but de protéger les consommateurs, les devis des prestataires doivent être précis et détaillés. Dans l’estimation, chaque matériel acheté, besoin et dépense doit être notifié en plus des honoraires. Et comme le Net a augmenté les exigences des clients en termes de rapidité, le calcule doit être fait en un laps de temps minime pour aspirer à gagner la confiance des clients et devancer la concurrence.

Les formations ne sont jamais vraiment terminées

En plus des formations que l’on doit suivre en vue de l’obtention du CAP, les artisans doivent se remettre à niveau régulièrement. La raison en est que les normes en vigueur changent plus rapidement que les années d’exercices. Encore récemment, les normes d’isolations acoustiques et thermiques d’une maison ont été optimisées par les experts. Le but étant de garantir un peu plus de confort aux habitants de la maison, mais aussi de limiter les déperditions.
Le cheval de bataille des artisans est l’information. Il est nécessaire de suivre les tendances et d’apprendre les techniques pour les mettre en place.

Le cercle du gaming professionnel

Parmi les gamers professionnels, il y a ceux qui vivent vraiment de ce travail. Si c’est ce que vous comptez faire, il faudra être déterminé, car il y a tout de même un risque. Il y a de milliers de joueurs dans le monde, mais il n’y a que près de 500 gamers professionnels. Entrer dans ce cercle devient de plus en plus difficile, car il y a plus de joueurs professionnels actuellement. Il faudra alors bien choisir le jeu où vous vous sentez à l’aise et où vous êtes le meilleur. Pour devenir professionnel également, il faudra s’entraîner au minimum deux heures par jour et se mettre en ligne pour des compétitions.

Quelles sont les sources de revenus des gamers professionnels ?

Pour gagner leur vie, la plupart des gamers professionnels participent à des tournois. Il n’y a pas toujours autant à gagner, car l’équipe doit aussi se partager les gains. Il faudra alors enchaîner les tournois ou au moins en faire une ou deux fois par semaine. Parmi les sources de revenus qu’exploitent les gamers professionnels, il y a aussi le sponsoring. C’est comme dans tout autre sport, les sponsors payent les joueurs pour porter leur maillot. Il est à noter que les sponsors ne viennent pas forcément à vous, il faudra les chercher. Essayez également de vous démarquer lors des tournois et des compétitions pour que vous ayez des chances d’être contacté. Il arrive également aux gamers professionnels d’enregistrer leur partie et de mettre les vidéos en ligne avec des publicités. Ces publicités-là leur rapportent également de l’argent. Avec ces différentes sources de revenus, il est difficile de déterminer exactement combien peut gagner un gamer professionnel.

Perfectionnez vos talents innés par une formation

Si vous avez le budget ou les moyens financiers d’embrasser une formation pour améliorer vos aptitudes naturelles, alors n’hésitez pas ! Avez-vous des facilités pour le marketing et la communication ? Inscrivez-vous dans une formation en marketing/communication. Vous aimez et savez écrire ? Peut-être devriez vous intégrer une faculté de lettres ou à un atelier d’écriture. Vous adorez vendre et vous n’avez pratiquement aucune difficulté à persuader des inconnus à acheter ? Passez quelques mois (ou années) sur les bancs d’une école de commerce. En fonction de votre âge, optez pour une formation initiale, une formation continue ou une formation en alternance comme celle proposée par Esup.fr. En plus de suivre une formation, informez-vous, renseignez-vous et documentez-vous. Pour améliorer vos talents, vous devez accumuler les expériences et les informations.

Préparez-vous financièrement

Il est imprudent de se lancer dans une nouvelle aventure, celle qui vous stimule le plus, sans un minimum de préparation. La première chose à faire, c’est de consolider votre situation financière, sauf si vous prenez ce virage à 360° parce que vous n’avez pas d’autres choix. Dans tous les cas, cela signifie qu’il est important d’épargner même si cela signifie que vous êtes contraint de faire quelques sacrifices. La constitution de cette épargne est l’assurance qu’un jour ou l’autre vous serez libre de faire ce que bon vous semble comme suivre une formation afin d’embrasser le métier de vos rêves ou de vous inscrire à une école de commerce de grande renommée. Sachez que vous ne trouverez pas immédiatement un emploi ou des clients après votre formation. De plus, lorsque vous suivrez votre formation, vos revenus diminueront.